- EAN13
- 9782367936055
- Éditeur
- L'Atalante
- Date de publication
- 16/03/2023
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Atalante 11,50
Il n’y aura pas de vivant sans dévoration.
« Laissant surgir d’outre-tombe les monstres du passé, les songes dessinent ce
qu’Homo sapiens sapiens perçoit, obscurément, comme les menaces du futur.
Ainsi peuplés de cataclysmes et de bêtes, les rêves constituent peut-être des
réminiscences de peurs immémoriales, des rappels de la précarité du corps –
cette machine gorgée d’eau et pourtant si vite noyée, ce prédateur si
facilement dévoré. »
Premier roman de la Québécoise Christiane Vadnais, Faunes observe au
microscope l’évolution du cataclysme en cours et estompe les frontières
échafaudées de longue date entre l’homme et la nature.
« Faunes évoque tour à tour Ovide, Kafka et Wells, tandis qu’entrent en scène
de fabuleuses créatures qui provoquent l’effroi lorsqu’elles émergent du dense
brouillard ambiant. [...] Au bout du compte, la question qui sous-tend Faunes,
c’est de savoir qui de l’homme ou de la nature dévorera l’autre. Les paris
sont ouverts. » - Le Devoir
Coup de cœur des libraires québécois
« Laissant surgir d’outre-tombe les monstres du passé, les songes dessinent ce
qu’Homo sapiens sapiens perçoit, obscurément, comme les menaces du futur.
Ainsi peuplés de cataclysmes et de bêtes, les rêves constituent peut-être des
réminiscences de peurs immémoriales, des rappels de la précarité du corps –
cette machine gorgée d’eau et pourtant si vite noyée, ce prédateur si
facilement dévoré. »
Premier roman de la Québécoise Christiane Vadnais, Faunes observe au
microscope l’évolution du cataclysme en cours et estompe les frontières
échafaudées de longue date entre l’homme et la nature.
« Faunes évoque tour à tour Ovide, Kafka et Wells, tandis qu’entrent en scène
de fabuleuses créatures qui provoquent l’effroi lorsqu’elles émergent du dense
brouillard ambiant. [...] Au bout du compte, la question qui sous-tend Faunes,
c’est de savoir qui de l’homme ou de la nature dévorera l’autre. Les paris
sont ouverts. » - Le Devoir
Coup de cœur des libraires québécois
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