- EAN13
- 9782755504743
- Éditeur
- Fayard/Mille et une nuits
- Date de publication
- 14/09/2011
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Traduction de l'allemand par Adolphe Bossert. Ce recueil est une sélection de
lettres adressées par Arthur Schopenhauer à son principal disciple et
légataire testamentaire, Julius Frauenstädt – il sera son premier éditeur
(posthume). Bien qu’il doute constamment de ses capacités intellectuelles et
surtout de son dévouement, le philosophe en fait l’« archi-évangéliste » de sa
propre doctrine. Cette correspondance, qui s’étale sur douze ans (de 1847 à
1859), est le lieu des confidences les plus intimes et des coups de gueule les
plus incongrus. Schopenhauer, qui orchestre savamment sa gloire naissante, y
déverse tous azimuts sa bile accumulée et se réjouit comme un enfant des
signes annonciateurs du triomphe de sa pensée – dont il n’a jamais réellement
douté. D’une franchise rare, au point d’être souvent blessante pour leur
destinataire, ces lettres sont d’un grand intérêt. Elles donnent à voir un
homme fort peu bouddhiste, toujours à l’affût de la moindre allusion, même
critique, à ses écrits et avouant sans vergogne son intérêt pour les
phénomènes paranormaux. Notes et postface par Yannis Constantinidès.
lettres adressées par Arthur Schopenhauer à son principal disciple et
légataire testamentaire, Julius Frauenstädt – il sera son premier éditeur
(posthume). Bien qu’il doute constamment de ses capacités intellectuelles et
surtout de son dévouement, le philosophe en fait l’« archi-évangéliste » de sa
propre doctrine. Cette correspondance, qui s’étale sur douze ans (de 1847 à
1859), est le lieu des confidences les plus intimes et des coups de gueule les
plus incongrus. Schopenhauer, qui orchestre savamment sa gloire naissante, y
déverse tous azimuts sa bile accumulée et se réjouit comme un enfant des
signes annonciateurs du triomphe de sa pensée – dont il n’a jamais réellement
douté. D’une franchise rare, au point d’être souvent blessante pour leur
destinataire, ces lettres sont d’un grand intérêt. Elles donnent à voir un
homme fort peu bouddhiste, toujours à l’affût de la moindre allusion, même
critique, à ses écrits et avouant sans vergogne son intérêt pour les
phénomènes paranormaux. Notes et postface par Yannis Constantinidès.
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