- EAN13
- 9782875686558
- Éditeur
- Espace Nord
- Date de publication
- 30/11/2023
- Collection
- ESPACE NORD
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Espace Nord 9,00
Vingt-cinq ans après son essai à succès, La Vie des abeilles (1901),
Maurice Maeterlinck consacre deux nouvelles études aux insectes sociaux : La
Vie des termites (1926) et La Vie des fourmis (1930). L'insecte social
représente alors un miroir à plusieurs facettes où entomologistes,
médecins, philosophes entendent percevoir — et fantasment parfois — l'origine
et le devenir des organisations sociales et politiques humaines, de la morale
ou encore de la civilisation.Au croisement du traité de vulgarisation
scientifique, de l'essai philosophique et de la vision symboliste ou
métaphysique, ces deux essais laissent entendre les doutes et les espoirs
d'une époque, mais aussi d'un écrivain qui prête une attention
particulière aux modes d'être des autres vivants, et dévoile une
sensibilité écologique qui continuera d'habiter certaines de ses féeries et
essais tardifs. Né à Gand en 1862, Maurice Maeterlinck se consacre
rapidement à la littérature. Dès 1889, il publie un recueil de poèmes,
Serres Chaudes, et une pièce de théâtre, La Princesse Maleine, qui
traduisent ses préoccupations symbolistes. Poète, dramaturge et essayiste,
il reçoit en 1911 le prix Nobel de littérature. Il meurt à Orlamonde, près
de Nice, en 1949. Né à Gand en 1862, Maurice Maeterlinck se consacre
rapidement à la littérature. Dès 1889, il publie un recueil de poèmes, Serres
Chaudes, et une pièce de théâtre, La Princesse Maleine, qui traduisent ses
préoccupations symbolistes. Poète, dramaturge et essayiste, il reçoit en 1911
le Prix Nobel de littérature. Il meurt à Orlamonde, près de Nice, en 1949.
Maurice Maeterlinck consacre deux nouvelles études aux insectes sociaux : La
Vie des termites (1926) et La Vie des fourmis (1930). L'insecte social
représente alors un miroir à plusieurs facettes où entomologistes,
médecins, philosophes entendent percevoir — et fantasment parfois — l'origine
et le devenir des organisations sociales et politiques humaines, de la morale
ou encore de la civilisation.Au croisement du traité de vulgarisation
scientifique, de l'essai philosophique et de la vision symboliste ou
métaphysique, ces deux essais laissent entendre les doutes et les espoirs
d'une époque, mais aussi d'un écrivain qui prête une attention
particulière aux modes d'être des autres vivants, et dévoile une
sensibilité écologique qui continuera d'habiter certaines de ses féeries et
essais tardifs. Né à Gand en 1862, Maurice Maeterlinck se consacre
rapidement à la littérature. Dès 1889, il publie un recueil de poèmes,
Serres Chaudes, et une pièce de théâtre, La Princesse Maleine, qui
traduisent ses préoccupations symbolistes. Poète, dramaturge et essayiste,
il reçoit en 1911 le prix Nobel de littérature. Il meurt à Orlamonde, près
de Nice, en 1949. Né à Gand en 1862, Maurice Maeterlinck se consacre
rapidement à la littérature. Dès 1889, il publie un recueil de poèmes, Serres
Chaudes, et une pièce de théâtre, La Princesse Maleine, qui traduisent ses
préoccupations symbolistes. Poète, dramaturge et essayiste, il reçoit en 1911
le Prix Nobel de littérature. Il meurt à Orlamonde, près de Nice, en 1949.
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