- EAN13
- 9782955970058
- ISBN
- 978-2-9559700-5-8
- Éditeur
- Kontr
- Date de publication
- 20/09/2018
- Collection
- Autobiographie
- Nombre de pages
- 107
- Dimensions
- 21 x 14,5 x 1 cm
- Poids
- 194 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- turc
- Fiches UNIMARC
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En 1997, lorsque paraît en Turquie Les Djinns de l’argent, Murathan
Mungan est déjà au faîte de sa carrière. Pour la première fois, il
livre au public ces textes qu’il appellera plus tard des « nouvelles
autobiographiques » et qu’il parsème de clés pour, d’une part, éclairer
certains aspects de son œuvre à la lumière de sa biographie, mais
surtout pour mettre en évidence l’importance de sa ville d’origine et
son influence sur son identité d’homme et d’écrivain.
Mardin, ville proche de la frontière syrienne où ont longtemps cohabité
Arabes, Kurdes, Arméniens, Ézidis et Assyro-Chaldéens, est cette
ville qui l’a fait, lui, cet écrivain qui règne depuis plusieurs décennies
sur le paysage littéraire de Turquie. En mêlant l’intime et l’historique
au fil des textes qui composent cet essai autobiographique, Mungan
lui donne, comme il n’a eu de cesse de le faire dès ses premiers
textes poétiques, dramatiques ou de fiction, ses lettres de noblesse.
Pour cela mais surtout parce qu’il donne la mesure du talent de cet
écrivain complet, voire total, Les Djinns de l’argent confirme la place
de Murathan Mungan parmi les grands noms de la littérature mondiale.
Mungan est déjà au faîte de sa carrière. Pour la première fois, il
livre au public ces textes qu’il appellera plus tard des « nouvelles
autobiographiques » et qu’il parsème de clés pour, d’une part, éclairer
certains aspects de son œuvre à la lumière de sa biographie, mais
surtout pour mettre en évidence l’importance de sa ville d’origine et
son influence sur son identité d’homme et d’écrivain.
Mardin, ville proche de la frontière syrienne où ont longtemps cohabité
Arabes, Kurdes, Arméniens, Ézidis et Assyro-Chaldéens, est cette
ville qui l’a fait, lui, cet écrivain qui règne depuis plusieurs décennies
sur le paysage littéraire de Turquie. En mêlant l’intime et l’historique
au fil des textes qui composent cet essai autobiographique, Mungan
lui donne, comme il n’a eu de cesse de le faire dès ses premiers
textes poétiques, dramatiques ou de fiction, ses lettres de noblesse.
Pour cela mais surtout parce qu’il donne la mesure du talent de cet
écrivain complet, voire total, Les Djinns de l’argent confirme la place
de Murathan Mungan parmi les grands noms de la littérature mondiale.
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