- EAN13
- 9782841624591
- ISBN
- 978-2-84162-459-1
- Éditeur
- Éclat
- Date de publication
- 22/08/2019
- Collection
- ECLAT POCHE
- Nombre de pages
- 226
- Dimensions
- 17 x 11 x 1,3 cm
- Poids
- 126 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Chroma (« couleur » en grec) est le dernier livre de Derek Jarman.
« Autobiographie par la couleur » d’un homme qui perd chaque jour un peu plus la vue, jusqu’à devenir presque aveugle, tandis qu’il en écrit les dernières pages sur son lit d’hôpital londonien, et revient, chapitre après chapitre, sur les couleurs du langage et des livres, les seules auxquelles il a désormais accès. Mais Chroma n’en reste pas moins plein de cet humour si particulier à l’œuvre de Jarman, qui mêle à ses souvenirs d’enfance le long des blanches falaises du Kent ou ceux d’une jeunesse « héroïque » dans les quartiers rouges de Londres, ses lectures érudites (Pline, Aristote, Wittgenstein, Goethe, etc.), des remarques toujours en demi-teinte sur la peinture et une réflexion sur le jeu flamboyant des couleurs de fleurs sur la lande aride de Dungeness, où, à l’ombre d’une centrale nucléaire, pousse son « dernier jardin ».
Derek Jarman (1942-1994), cinéaste, peintre, écrivain, homme de théâtre, jardinier etc., meurt du sida en 1994, laissant au nouveau siècle, des films (Caravaggio, Wittgenstein...), des tableaux, des livres et un jardin.
« Autobiographie par la couleur » d’un homme qui perd chaque jour un peu plus la vue, jusqu’à devenir presque aveugle, tandis qu’il en écrit les dernières pages sur son lit d’hôpital londonien, et revient, chapitre après chapitre, sur les couleurs du langage et des livres, les seules auxquelles il a désormais accès. Mais Chroma n’en reste pas moins plein de cet humour si particulier à l’œuvre de Jarman, qui mêle à ses souvenirs d’enfance le long des blanches falaises du Kent ou ceux d’une jeunesse « héroïque » dans les quartiers rouges de Londres, ses lectures érudites (Pline, Aristote, Wittgenstein, Goethe, etc.), des remarques toujours en demi-teinte sur la peinture et une réflexion sur le jeu flamboyant des couleurs de fleurs sur la lande aride de Dungeness, où, à l’ombre d’une centrale nucléaire, pousse son « dernier jardin ».
Derek Jarman (1942-1994), cinéaste, peintre, écrivain, homme de théâtre, jardinier etc., meurt du sida en 1994, laissant au nouveau siècle, des films (Caravaggio, Wittgenstein...), des tableaux, des livres et un jardin.
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