- EAN13
- 9782757411537
- ISBN
- 978-2-7574-1153-7
- Éditeur
- Presses Universitaires du Septentrion
- Date de publication
- 11/03/2016
- Nombre de pages
- 110
- Dimensions
- 24 x 16 x 2,3 cm
- Poids
- 197 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
En écrivant _Les Belles Infidèles_ il y a plus de soixante ans, Georges Mounin
a voulu proposer, selon ses propres termes, « une défense et illustration de
l'art de traduire ». Il a su réaliser son projet avec une rigueur de
démonstration peu commune, une documentation historique exemplaire et, par-
dessus tout, une vision magistrale de la traduction. Non seulement cette
vision envisage tous les aspects fondamentaux de la traduction, mais elle
réussit à faire converger différents points de vue vers la solution des
problèmes: celui du philologue, de l’historien et du linguiste, comme celui
des traducteurs eux-mêmes et celui des théoriciens de la traduction. « Il ne
s’agit pas de démontrer que la traduction soit facile, ni toujours à tout coup
possible et parfaite du premier coup. Ce serait déjà beau d’avoir combattu
cette maladie qui paralyse les traducteurs eux-mêmes avant d’avoir commencé
leur tâche: la conviction séculaire qu’ils entreprennent une tâche
théoriquement impossible », écrivait l’auteur.
Cet ouvrage constitue une réédition d’un grand classique de la traductologie.
a voulu proposer, selon ses propres termes, « une défense et illustration de
l'art de traduire ». Il a su réaliser son projet avec une rigueur de
démonstration peu commune, une documentation historique exemplaire et, par-
dessus tout, une vision magistrale de la traduction. Non seulement cette
vision envisage tous les aspects fondamentaux de la traduction, mais elle
réussit à faire converger différents points de vue vers la solution des
problèmes: celui du philologue, de l’historien et du linguiste, comme celui
des traducteurs eux-mêmes et celui des théoriciens de la traduction. « Il ne
s’agit pas de démontrer que la traduction soit facile, ni toujours à tout coup
possible et parfaite du premier coup. Ce serait déjà beau d’avoir combattu
cette maladie qui paralyse les traducteurs eux-mêmes avant d’avoir commencé
leur tâche: la conviction séculaire qu’ils entreprennent une tâche
théoriquement impossible », écrivait l’auteur.
Cet ouvrage constitue une réédition d’un grand classique de la traductologie.
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